PARACHA BALAK
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LECTURE DE LA TORAH : Nombres 22:2 - 25:9 - 16 Tamouz 5781 / 26 juin 2021
"QUE TES TENTES SONT BELLES O JACOB" par Caroline Elisheva REBOUH.

Voici que, comme toujours, deux hommes non-juifs dont le vœu le plus cher est d'anéantir Israël évoluent dans cette parasha.
Le roi de Moav[1] répondant au nom de Balak, fils de Tsipor, ayant assisté à la défaite de Sihon roi des Amoréens et de Og Roi du Bashan, conçut un certain effroi devant le peuple juif et jure de mettre Israël hors de combat.
La Reine des Sables : Conférence le 20/06/2021 à Lyon
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A l’occasion à la parution du livre "La Reine des Sables" de Didier Nebot aux éditions Erick Bonnier, l’association Robert Gamzon Lyon2 & l’ACI Tilsit, vous invitent à une conférence avec l’auteur.
Pour s’inscrire sur Weezevent, il est possible de passer par le site www.consistoiredelyon.fr
Ä Cliquer sur le flyer pour l’agrandir
Visio conférence ZOOM de Didier NEBOT "La Reine des Sables"
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Jeudi 3 juin 2021

Webconférence
avec
Didier Nebot
A l’occasion de la parution de son nouveau livre : "La Reine des Sables"
https://www.erickbonnier-editions.com/nouveaut%C3%A9s/la-reine-des-sables
Festival international de musique séfarade 2021, à Cordoue
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Du 14 au 19 juin 2021, se tiendra en Andalousie, le festival de musique Séfarade.
C’est le rendez-vous incontournable pour tous ceux qui veulent découvrir les différentes traditions de cette culture. Ce festival qui est une référence internationale de la musique séfarade, a lieu chaque année dans le cadre du Jardin Botanique de Cordoue, cela depuis 2002.
Cet événement fut nommé dans un premier temps comme le festival du Réseau des quartiers juifs de l''Espagne "Chemins de Séfarade". Il s’agit d’un point de rencontre, dans lequel le public peut approfondir les différentes traditions de la culture séfarade.
Communauté juive de Constantine : TRADITIONS
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Collection Jacques NakacheIl est clair que la Tradition est en quelque sorte l’alibi de la chose religieuse.
Le traditionaliste pouvait se dédouaner de la pure pratique religieuse et de toutes ses contraintes tout en restant normatif au regard du fil de l’Histoire.
La Tradition disait marginaliser l’orthodoxie pour "s’adapter" au monde moderne.
"Je n’oublie pas d’où je viens, je connais l’Histoire de mes ancêtres qui ont traversé des siècles de vissicitudes et d’oppressions mais je dois me reconnaître en homme libre pour exister et prendre une lace dans la société où je vis.".
Communauté juive de Constantine : SUPERSTITIONS
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Collection Jacques NakacheA partir d’une banale réalité d’un environnement algérien de ces années où régnaient à la fois difficultés, précarité, et insouciance, la superstition nous invite à un suspense haletant où même les représentants du Diable se mettent à faire des miracles.
Mélange passionnant et détonnant de sacrilèges et d’humour juif. Les maisons de ces pauvres juifs grouillaient de rebondissements insolites.
Quelques témoignages recueillis :
Joseph a grandi dans une petite rue bruyante de Constantine, pas loin de l’étal d’Albert, le boucher casher qu’il voyait souvent sacrifier des poules pour obtenir un bienfait ou obtenir une guérison.
"SEULE, BISKRA"
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De Henri Touitou
Cet ouvrage broché de 128 pages est paru le 7 juillet 2020, chez l’éditeur Unicité
Dans le cadre du festival "Quartier du livre", l’auteur propose de dédicacer son livre, samedi 5 juin 2021, de 13h à 14h à la mairie du 5ème arrondissement de Paris.
Extrait du récit
« Encore pétri de rêves récurrents d’adolescent, j’étais dans l’attente du retour dans ce monde premier, essentiel.
Les Djéraoua, tribu de la Kahéna
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Une partie des Berbères professait le judaïsme, religion qu’ils avaient reçue de leurs puissants voisins, les Israélites de la Syrie. Parmi les berbères juifs, on distinguait les Djéraoua, tribu qui habitait l’Aurès et à laquelle appartenait la Kahéna, femme qui fut tuée par les arabes, à l’époque des premières invasions.
Les autres tribus juives étaient les Néfoussa, berbères de l’Ifriqiya, les Fendéloua, les Médiouna, les Behloula, les Rhiata et les Fazas, berbères du Maghreb el Aqsa. Parmi leurs chefs les plus puissants, on remarqua surtout la Kahéna, reine du Mont Aurès, et dont le vrai nom était Dahia, fille de Tabet, fils de Nicin.
Sa famille faisait partie des Djéraoua, tribu qui fournissait des rois et des chefs à tous les berbères descendus d’El-Abter. Douée d’une grande beauté, elle était recherchée en mariage par les chefs les plus puissants.
Quand la Kahena décide de déliver son peuple
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La Kahéna forma le projet de délivrer son peuple du monstre qui l’opprimait.
Elle annonça son mariage avec lui ; et, elle lui plongea un poignard dans le sein. La libératrice fut immédiatement proclamée chef par ses compatriotes reconnaissants.
Quand Hassan eut chassé les grecs, il séjourna quelques temps à Kairouan pour donner du repos à ses troupes.
Ayant demandé aux habitants quel chef puissant restait encore en Ifriqiya, il lui fut répondu que la Kahéna exerçait un pouvoir tel que, s’il parvenait à la vaincre, il serait le maître absolu de tout le Maghreb. Il se mit en marche vers l’Aurès. A la nouvelle de cette menace, la Kahéna descendit de ses montagnes à la tête d’une armée innombrable.
Paracha de la semaine : CHELA’H LEKHA
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Paracha Chela'h : Nombres 13, 1 - 15, 41 _ Lecture : 25 Sivan 5781 / 5 mai 2021
L'AFFAIRE DES EXPLORATEURS par Caroline Elisheva REBOUH.

Cette quatrième sidra du quatrième livre de la Torah s'ouvre sur une question : pourquoi D conseille-t-Il à Moïse de choisir des personnes qui vont être chargées de mission et de quelle mission s'agit-il ?
Une autre péricope comporte cette même tournure de phrase ou plutôt de conseil : Lekh lekha (va pour toi) a dit HaShem à Abraham et ici, D dit à Moïse : Chelah lekha (envoie pour toi).
"Les raisins d’Alger mûrissent à Jérusalem" de Sidney Chouraqui
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“Et vous, montagnes d’Israël, portez vos branches et donnez vos fruits à mon peuple, car ils vont bientôt revenir” Ezechiel - 36, 8

Aliyah et immigration (Le retour en Israël)
Pendant près de 3.000 ans des Juifs vécurent dans les principales villes du Bassin méditerranéen.
En 1945, il y avait environ 900.000 Juifs dans les pays arabes. Plus de 600.000 arrivèrent en Israël et 300.000 s’installèrent en Europe et aux Amériques.
L’Etat d’Israël n’est pas encore créé. L’Agence Juive pour la Palestine avait déjà bâti les infrastructures d’un véritable Etat-Nation, ensemble avec les mouvements des Kibboutzim et Moshavim.
Le PALMAH joue un rôle important dans le déroulement de l’aliyah clandestine
Embarquements clandestins des Olim le long des côtes algériennes en 1947
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Par Sidney Chouraqui (p. 137 de son ouvrage "Les raisins d'Alger mûrissent à Jérusalem"
Hôtel ALANTIDE- Bouzaréah (Algérie) - Enfants marocain, en partance pour Israël (1949) Photo M. OUALID
- Premier départ : 25 mai 1947
Evénement extraordinaire, historique de l'embarquement illégal clandestin, de plus de 350 personnes (pour la plupart d'origine marocaine), qui sont transportées sur des chaloupes vers le bateau au large de Ténès, dans l'émotion générale. On donne à ce bateau le nom de "Yehouda Halevy" (célèbre poète juif d'Espagne, 1075-1141). Il navigue en direction du port de Haïfa.
L’émigration clandestine de 1947
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Source de l’information : Chroniques des communautés juives d’Algérie (pages 288 et 289).
Bateau "Yehouda Halevy" avec l'aimabable autorisation de DAFINA
La filière de l’exode du judaïsme marocain était : Oujda -Marnia – Oran – Alger – Marseille.
En 1947, un cournat migratoire, progressant sans cesse, se dirgea vers la frontière algérienne afin d’émigrer illégalement à bord d’un des bateaux clandestins se rendant en Israël.
Le projet originel des émissaires de Jérusalem était de faire partir sous une structure bien organisée les jeunes pionniers qui furent préalablement formés dans ce but.
Les moyens de locomotion étaient des plus divers et appropriés aux cirocnstances. Les départs ne s’effectuaient pas par la zone espagnol ou par Tanger, mais surtout par la frontière algérienne.

