Les Juifs d’Afrique du Nord et la Shoah
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Témoignage d’Abraham Paul Benaïm interviewé par l'historien Jacques Bernard Sadon
Avec la participation de l'historien Haïm Saadoun
↪ Cliquer sur le visuel, ci-dessous, pour entendre le témoignage
Souviens-toi, n'oublie pas : Paule Edmée Nakache, Annie Laurence Nakache et Young Perez
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A LA MEMOIRE DES VICTIMES DE LA SHOAH
זכור אל תשכח
Souviens-toi, n'oublie pas
Paule Edmée Nakache Née Elbaz : Née le 12/10/1915 à Constantine (Algérie Française)
Arrestation le 11/1943 - Date de la déportation : 20/01/1944
Date de décès : 1944 à Auschwitz (Pologne)
Au dernier survivant : Paroles sur la Shoah
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Par le Rabbin Daniel Fahri

Cet ouvrage de 288 pages est paru le 3 janvier 2008, chez l’éditeur Albin Michel
Résumé
Depuis 1974, le rabbin Daniel Farhi a identifié son nom à la mémoire des victimes de la Shoah. Il a notamment, depuis 1990, instauré la célébration en France du Yom Hashoah, la journée commémorative inaugurée en Israël en 1951.
Il a surtout organisé à Paris la lecture publique, ce jour-là, des noms des déportés juifs de France.
Ce recueil contient les "sermons" et allocutions qu'il a prononcés lors de ces commémorations. Pour lire le texte, cliquer sur :
PARACHA A'HARE MOT KEDOSHIM
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Lecture : Lévitique 16,1 - 20, fin - 30 avril 2022 / 29 Nissan 5782
APPRENDRE A AIMER LES AUTRES, par Caroline Elishéva REBOUH.

Dans la paracha SHEMINI le texte ne livre que très peu de renseignements sur Aharon Cohen Gadol dont deux des fils meurent brutalement dans le Temple : nous lisons en effet qu'Aharon reçoit le "TSIDOUK HADINE" (1) : ויידום אהרון et Aharon garda le silence.
Aharon perd deux fils (Que D préserve tout le monde) et le Grand Prêtre garde tout son calme, il ne se lamente pas et Moshé recommande de ne pas exprimer leur chagrin.
Haftara KEDOCHIM
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Par Caroline Elishéva REBOUH -
Ezéchiel 20 : 1 - 20
La Haftara de Kedoshim comporte des parties très dures à entendre des prophéties d’Ezéchiel.
C’est sans doute la raison pour laquelle, on sacrifie à l’habitude de lire, en cas de paracha jointe, la lecture prophétique de la deuxième péricope en ne citant que la très courte lecture du prophète Amos.
La symbolique du chiffre "4" dans la HAGGADA DE PESSAH
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Par Caroline Elishéva REBOUH
En général on bute sur les 4 fils de la Haggada sans se poser de questions sur les 4 koushiot (questions) ou sur les 4 kossot (coupes de vin) du soir du seder et pourtant tout est lié et pas seulement entre eux, mais avec d'autres éléments que nous rencontrons dans la vie quotidienne. Le texte-même de la Haggada.
Nous commencerons cette petite étude par celle du Tétragramme qui est pour nous la représentation de l'attribut de miséricorde qui s'adresse par ses quatre lettres aux différents types humains ceux qui sont parfaits.
Poème de Raphael Drai z"l : Lumière de Pessah
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⇰ Merci de cliquer sur l'image pour voir la video
Chant ETMOL, interprété par le rabbin Henry Lévy
Le sel du Omèr
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Par Gérard Shimon Dadoun, petit fils du Grand Rabbin Sidi Fredj Halimi.

Je me suis très souvent posé la question, à savoir pourquoi dans certaines communautés on distribue des sachets de sel le deuxième soir de Pessah, au moment où on va lire pour la première fois de l’année la bénédiction pour le décompte du Omer ?
Dans le livre du Lévitique (Vayikra), au chapitre 23, Parachat Emor, versets 10 et suivants il est écrit :
"Parle aux enfants d’Israël et dit leur : quand vous entrerez dans le pays que je vous donne et que vous moissonnerez sa récolte vous apporterez l’Omer, prémices de votre récolte, au prêtre.
"Betmo-or", de Line Meller
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"Betmo-or", cela ne veut rien dire pour vous ? Pas étonnant.

C'est pourtant ce que nous croyions entendre, nous, tous les gosses de la famille réunis autour de la table, frères et sœurs, cousins, cousines, lorsque grand-père Saïd élevait le plat du Séder à hauteur de son front, avant de le faire passer sur les têtes inclinées des assistants, ceci par trois fois, le soir de Pessah.
"Betmo-or… " et toute la mélodie qui baigne encore mes oreilles pour raconter que "hier nous étions des esclaves, aujourd'hui des affranchis. Ce jour nous sommes ici, l'an prochain libres au pays d'Israël".
CHABBAT HAGADOL
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Lecture Haftarah : Malachi 3:4-24 - Par Caroline Elishéva REBOUH - lecture 12 avril 2025/ 14 Nissan 5785
La haftara de ce shabbat qui précède la fête de Pessah fait partie de la prophétie de Malachie qui vécut à l’époque où une partie de la population juive de Judée exilée en Babylonie après la destruction du premier Temple, amorce son retour dans son pays d’origine et est déclenchée la reconstruction du deuxième Temple.
Le prophète a un discours à la fois réconfortant et débilitant, car d’une part le prophète se veut rassurant en promettant que désormais, tous les sacrifices offerts seront agréés par D admoneste la "caste" des Cohanim qui se sont laissés aller et ont été corrompus.
Nous attendons un signe
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par Charles BACCOUCHE

Toi qui règne dans les cieux, Toi Notre père, notre Roi, Tu sculptes au long des jours, le destin des hommes parsemé de lueurs fugaces.
Vers le ciel montent les veloutes bleues de l’espérance des hommes, il n’en reste qu’un nuage léger qui se dissipe si vite qu’on n’est pas sûr de l’avoir aperçu.
Nous de l’Espérance chantait Edmond Fleg, le grand poète habité par l’Esprit, aux temps des ravages insensés venus des ténèbres qui faillirent exterminer les pauvres et les damnés de la terre qui portent le fardeau d’une élection brouillée par l’Histoire.
Vivre !, 7 octobre, le temps d’après
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VIVRE ! 7 octobre, le temps d'après
En rendant hommage aux victimes du 7 octobre en Israël, ce récital poétique et musical vise à faire œuvre de "mémoire et de consolation", en rappelant aussi le sort de tous les Juifs victimes des violences antisémites qui se sont produites au cours de l’Histoire.
Dimanche 30 mars 2025, 18h30
ACCIL Levallois, 10 rue Baudin 92300 Levallois
LA GALETTE DE PÂQUE
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Par Caroline Elishéva Rebouh
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A Alger, où nous étions très francisés, et où notre éducation juive laissait beaucoup à désirer, nous ne disions pas "matsot" qui à l’extrême rigueur était un mot prononcé "messoth" par des personnes qui avaient des réminiscences de ce qu’ils avaient appris à "l’Alliance".
On ne disait pas non plus "pain azyme" mais tout simplement "la galette" on allait acheter la galette, on trempait la galette et on ne supportait pas la galette.






